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il y a 5 ans
Je vous écris ici suite à la découverte de votre site qui correspond en de nombreux points à la situation que je connais depuis maintenant plus d'un an et demi avec ma femme. J'ai toujours eu des attirances pour la relation domination - soumission, pour diverses pratiques légèrement en décalage avec ce qui est communément admis par la majorité des gens, mais à chaque fois c'était moi qui avait le contrôle de la situation, qui décidais, qui commençais ou mettais un terme aux débats. Avec ma femme, il en a donc été naturellement ainsi au départ. Certaines choses avaient toutefois évolué depuis ma vie avec elle, puisque elle aimait passer des jeux de soumise au rôle de maîtresse plus directive. Ses tendances de domination - soumission, mélangées aux miennes, nous faisaient naviguer donc dans un certain esprit versatile, nous échangions les rôles, même si dans la plupart des cas, c'est encore moi qui décidais de tout. Quant au fait de me tromper, de vouloir l'être, il n'en était aucunement question pour moi.
Je la provoquais quelques fois, lui disant que nous pouvions aller plus loin, qu'elle
pourrait être plus curieuse dans les domaines sexuels qui m'attiraient, qu'elle pourrait aller sur le net pour voir ce qui se faisait, ce qui m'excitait, pour apprendre de certains sites et de certaines pratiques. Aussi, je fus agréablement surpris au départ lorsqu'elle se mit à surfer un peu plus qu'à son habitude, surtout que je pouvais de temps à autre constater le bon choix des sites qu'elle fréquentait, et qui ne la laissaient pas indifférente. Mais son comportement a changé petit à petit, sans vraiment que je m'en rende compte, disons simplement par toutes petites touches.
Je mettais tout ceci sur le compte des soucis de travail, sur quelques énervements, etc... au bout d'un certain moment pourtant, plusieurs éléments venaient me rappeler qu'elle prenait de plus en plus de poids, d'importance, d'initiative dans nos relations sexuelles et dans la pratique consistant à me soumettre à elle. Un soir je compris un peu mieux l'évolution de la situation, suite à son aveu : elle discutait depuis un mois avec une maîtresse sur Internet, qui avait pour spécialité de mater les maris, de les retourner de macho en petite soubrette aimante à domicile. Je ne voyais pas où tout cela pouvait mener et c'est sans doute la raison pour laquelle je fus assez excité de cette réalité.
Devant mes bonnes prédispositions, elle me demanda alors de mettre un contrat au point entre
nous, pour continuer cette évolution, pour aller plus loin, pour accentuer les plaisirs et les
fantasmes. Je n'y étais pas opposé ne sachant pas les aboutissants et les arrières pensées de cette proposition. Je ne voyais qu'un jeu.
Sur idée de sa correspondante, elle avait élaboré un programme et un contrat, qui stipulait
tout ce dont je devais être au courant pour la prochaine année à venir de nos relations sexuelles. Je perdais toute initiative, je devenais soumis, je devais porter en permanence une sorte de ceinture de chasteté masculine qui emprisonnait mon sexe, c'est elle qui décidait de nos relations, de ses jouissances, des miennes. Il y avait des gages, des punitions pour les manquements, et des récompenses etc. sur le coup, je trouvais cela un peu plus compliqué, organisé, et contraignant que ce que j'avais pu imaginer, mais devant sa détermination, devant ses avances, devant ses menaces sous entendues de l'équilibre de notre relation j'ai accepté.
Très rapidement, j'ai compris que la dépendance sexuelle devenait la base de cette
éducation. La ceinture que je portais (et que je porte toujours) correspond à une sorte de cage,
avec mécanisme de fermeture et d'enlacement qui m'enserre le sexe, les reins, et qui empêche toute érection normale, et ne permet pas de pouvoir jouir. Elle seule possède la clé, et non
seulement il est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît de s'en débarrasser, mais en plus c'est on ne peut plus douloureux vue le mécanisme d'enlacement spécialement conçu qui déchire la chair si on f o r c e la serrure ou la structure métallique (il faut trois mains pour pouvoir tout enlever à un moment donner sans rien enfoncer dans le gland, et si j'assiste ma femme à chaque fois lorsqu'elle le fait et je me vois mal demander de l'aide à quelqu'un).
Le premier mois, je n'eu pas le droit de jouir. Pour une entrée en matière cela était difficile mais aussi très excitant. Mais insidieusement c'est tout un contrôle qui s'installait que je n'arrivais pas à saisir, que je ne voulais peut être pas, dans le fond, au départ. Lorsque c'est l'autre qui décide de la jouissance, on s'attache à la satisfaire, on essaye de la contenter, on accepte plus volontiers ses réprimandes ou au contraire ses douceurs et fantasmes. Surtout que j'ai un appétit sexuel qui me fait me transformer en quelqu'un d'assez docile pour parvenir à jouir, ce que je ne savais pas.
Aussi, quand elle m'a expliqué au premier jour du deuxième mois que l'on allait passer à l'étape suivante, je n'ai pas f o r c é ment pris mes gardes là non plus, pensant qu'elle se lasserait, qu'elle me ferait plus souvent jouir. Et de fait, alors que je portais tout le temps et continuellement la ceinture, elle m'ouvrirait parois cette cage pour me permettre de jouir. A condition que je me masturbe dans un temps imparti bien précis. Il fallait que je parvienne à chaque séance de liberté, à jouir devant elle en 3 minutes, montre en main. Si je n'y parvenais pas, elle refermerait la cage jusqu'à la prochaine fois. Les premiers temps, ce ne fut pas évident, et la première semaine je ne parvins pas à jouir.
La deuxième semaine, n'y tenant plus, je me répandais sur le sol. En effet, à chaque fois, je devais être à genoux, elle assise devant moi en train de se masturber, de me raconter des choses très sexuelles, me permettant même de la toucher. Deux mois plus tard, je
parvenais à jouir à chaque fois en moins de trois minutes. J'avais développé mon sens tactile, mon sens visuel pour pouvoir être très rapidement excité et jouir à chaque séance, ce qui me satisfaisait pleinement.
C'est alors qu'elle enchaîna l'enseignement, en baissant le nombre de minutes dont je disposais. Je vous épargne le comptage des mois, et des minutes, mais au bout de 2 autres mois j'étais passé de 3 minutes, 2 minutes 30 secondes puis 2 minutes. Ce qui n'est pas si évident vous pouvez me croire. Toujours les séances se passaient de la même façon, elles étaient espacées normalement de quatre jours, parois une semaine. Ensuite, j'ai eu le droit à une fois tous les deux jours, et bien entendu, c'était plus difficile, parce que le manque favorisait auparavant l'excitation et la jouissance.
De jouir à chaque fois, en 2 minutes prirent deux mois. Le mois suivant, je devais toujours jouir en 1 minute30 secondes, mais surtout sans avoir à la toucher, à la regarder, à pouvoir écouter ses fantasmes, me raconter des histoires. J'échouais souvent, elle me renfermait souvent sans jouir. Je développais le plus possible des choses qui me permettaient d'être excité, qui me permettait de jouir rapidement, j'accélérais mes mouvements de mains, je m'excitais de tout ce que je sentais ou voyais d'elle pendant les séances. Cela prit un peu plus d'un mois. Tombé à une minutes, puis réussissant ce challenge, elle me déclara quand je pus le faire non pas une fois mais à chaque fois, que je pouvais la pénétrer. Ce grand jour vint, elle se déshabilla, me masturba, me demanda de la pénétrer. Ce que je fis. Au bout de 30 secondes seulement, à mon étonnement le plus complet, alors que cela ne m'était jamais arrivé, j'ai jouis. Le sourire aux lèvres, elle me déclara que ce n'était pas grave, que l'on remettrait cela dans deux semaines.
Je m'appliquais à la satisfaire, à jouir rapidement tout le restant des jours qui me séparaient de cette nouvelle pénétration. Je tins seulement une dizaine de coups en elle. Nouveau sourire. Elle me dit qu'on le ferait le lendemain.
Le lendemain, elle me masturba pour me la rendre très dure, et au moment où elle me parla de
façon très sexuelle et crue, au dernier moment avant de la pénétrer, je me déversais sur elle, sur sa peau, avant de parvenir à entrer en elle. Elle éclata de rire, à gorge déployée. De m'être ainsi conditionné à jouir rapidement, sans rien d'excitant autre que mes rapides images pour faire monter le plaisir, j'avais tout fait pour être relâché le plus possible, et ne mettre aucune barrière à la montée de la jouissance. Je n'arrivais (n'arrive) plus à me contrôler.
Je n'étais pas au bout de mes surprises, puisque encore sous le choc de cette révélation,
elle se leva et téléphona à son amie d'Internet. Je ne pensais plus qu'elles se parlaient puisque ma femme ne m'en avait plus jamais rien dit. Alors de savoir qu'elles se téléphonaient maintenant, et certainement depuis longtemps vu leur manière de se parler, j'en restais abasourdi.
Elle parlait de moi en des termes très injurieux, comme si je n'étais pas là, comme si tout allait de soi.
- Ca y est, il est devenu précoce.
La conversation qui s'en suivit, je ne la retins même pas par coeur. Seulement des bribes
me sont restées. A la fin de la conversation, elle se mit devant moi, j'avais eu pour ordre de me mettre à genoux, elle me fit lui lacer ses chaussures. Pendant ce temps elle me racontait ce
qu'allait être la prochaine étape.
- Tu te rends compte que tu ne peux plus me satisfaire sexuellement désormais. En même temps, il faut bien que je continue ton éducation de bon petit mari, et que pour autant je jouisse moi aussi. Bon il est vrai que durant tout ce temps, tu as du te douter que parfois je devais sauter le pas, parce que tes séances de masturbations ne remplaçaient pas une bonne queue... Ne fais pas cette tête, jusque là cela n'est pas arrivé souvent. Mais il va falloir t'y habituer. Désormais, je jouis, et tu jouis. Donnant-donnant. Et comme toi tu ne peux plus, il va falloir que tu apprennes à vouloir et désirer qu'un autre me prenne et me fasse jouir pour avoir le droit toi aussi ensuite d'en profiter.
Ensuite, elle est partie le soir, ne rentrant que le lendemain matin. Depuis elle sort très
souvent, j'ai même rencontré l'autre maîtresse qui est venue constater mon état de précoce, et
pour me montrer qu'elle était responsable en partie de tout ceci.
Quand ma femme rentre de ses sorties, elle me fait mettre nu, à genoux, s'assoit face à
moi ou alors n'importe ou dans la pièce, et me raconte ce qu'il s'est passé. J'ai toujours droit à
quelques minutes d'histoire, puis le droit de me masturber pendant moins de 2 minutes. Je n'ai
plus aucune autre excitation que celle des histoires réelles que ma femme me raconte. Elle me
trompe ouvertement, et c'est à cela que je dois de pouvoir jouir ! Parfois, elle se met jambes
écartées, face à moi, me fais sentir son odeur et celle des autres males sur elle et je dois me
masturber. Son amie lui a dit que du fait que je ne pouvais plus l'honorer et qu'il n'y avait pas de raison qu'elle s'abaisse à se nettoyer elle même le sexe, elle pourrait tirer profit de la situation en me faisant lécher sa chatte à ses retours et à la laver. Puisqu'il ne peut plus y avoir de contamination de MST pour les autres du fait de ma fidélité plus que concrète qui m'empêche de contaminer ma femme ou ses amants qui sont des connaissances sûres et certaines de cette même amie, et puisque ma femme a toujours aimé sentir du sperme chaud la remplir ce que je ne peux plus lui apporter, elles m'ont dit qu'il n'y avait pas de raison que ma femme ne se fasse pas prendre queue nue. Et comme elle n'a pas à s'avilir à nettoyer du jus de male, de temps en temps, elle me faiy lécher et avaler le sperme encore chaud en elle dès son retour, faisant coïncider ce moment avec celui de ma masturbation pour que je jouisse tout en buvant le sperme de ses amants.
Sur la suggestion de son amie, elle me refuse la jouissance trois semaines, puis me demande si elle peut partir en week-end me promettant de me faire jouir au retour, sachant que je
ne pourrais dire non. J'attends à la maison, et quand elle revient je sais que je vais pouvoir me
faire jouir...
Il y aurait bien d'autres choses à dire, plus dans les détails, mais je ne sais si cela vous
intéresse, ou peut aider quelqu'un en quoi que ce soit. Je suis un peu perdu mais terriblement
amoureux, conditionné et contraint.
Ma femme m'éduque et m'apprend à jouir de ses aventures. 2
Suite à l'histoire que je vous avais fait parvenir il y a quelque mois, des personnes m'ont
envoyé des témoignages ou ont entretenu avec moi une correspondance. Je les en remercie. C'est l'un de ces échanges de courriers qui m'a valu ce que je vais vous raconter ici.
Il faut tout d'abord savoir que la boite e-mail sur laquelle je reçois du courrier, n'a pas été
ouverte par moi, mais par ma femme qui en détient les clefs, c'est-à-dire que c'est elle qui a le
mot de passe et c'est elle qui m'autorise ou non à répondre aux courriers reçus. Elle lit par
conséquent avant moi ce que les gens envoient, et si parfois j'ai le droit de lire avant elle, j'ai en revanche interdiction de le faire à partir du moment où en objet il est signalé que la lettre
s'adresse spécifiquement à elle. De même, elle lit aussi les réponses qu'elle m'autorise à faire (ellerajoute des choses ou en censure d'autres, me dit de revoir ma copie, etc.)
Mais une fois, à l'un des correspondants qui se reconnaîtra, j'ai rajouté une ou deux
phrases après correction sans lui en avoir fait part. Lorsque celui-ci renvoya une réponse avec ma lettre attachée en réponse comme le permet de le faire par facilité Internet, ma femme s'est rendu compte en relisant par hasard la fin de ma précédente lettre de ma "faute". Elle me suggéra alors de lui demander à lui, ce que je méritais comme punition. Sa réponse ne se fit pas attendre, et il proposa que je doive accepter que ma femme se fasse prendre devant moi, chez nous, sur notre lit conjugal. Tout simplement. A la lecture de son court texte, elle déclara sans autres ambages :
- "Bonne idée".
Puis plus rien pendant quelques temps (elle est partie en vacances entre temps, ce dont je
vous reparlerais plus tard en fin de récit puis dans un autre certainement.)
Et puis la semaine dernière elle reçoit un coup de téléphone, en ma présence, où j'ai pu
comprendre qu'elle avait correspondu quelques jours avec un homme pour qui elle avait un
certain penchant de par notamment les avantages de constitution dont il semblait doter. En
raccrochant, elle me regarda et dit :
-
Ça te plairait de te voir cocu alors ?
-
Pas seulement de l'imaginer ou de te l'entendre raconter ?
Ne sachant quoi répondre j'ai dit :
- Je ne préfère pas, enfin je ne sais pas.
Tout de go elle se mit à rajouter :
- Comprends moi bien, je ne t'ai posé la question que par politesse. Tu n'as pas vraiment le choix, et je suis certaine que tu vas aimer. Allez fini la vaisselle.
Puis ce week-end, le téléphone sonne, je décroche, une voix masculine demande à parler à
ma femme, mon coeur bat la chamade, c'est très rare quand c'est une voix masculine que je ne
connais pas qui demande à lui parler, je lui passe le combiné, elle dit simplement :
- D'accord, je suis là pas de problème. . je me mets nue ou alors tu as une préférence pour de la lingerie. . ?
Elle lui donne le code de la porte, lui indique l'étage et raccroche. Elle me fait signe
pendant ce temps de me déshabiller, fait de même, m'ordonne de me mettre à genoux dans un
coin de la pièce les mains derrière le dos.
- Tu vas tout entendre. Tu vas le voir, pour savoir à quoi il ressemble. Puis, je vais t'attacher ce bandeau sur les yeux. Et tu vas tout entendre sans bouger.
Quelques instants après on frappe à la porte, elle va ouvrir une sorte de petit tablier autour
de la taille. Il entre et la suit en lui défaisant directement le noeud du tablier pendant qu'ils se
dirigent vers la chambre. Je le vois. Là j'ai eu un petit choc parce que c'est un black plutôt jeune.
Elle fait comme si je n'étais pas là, elle rougit un peu, se laisse séduire, le touche un peu, puis de plus en plus, se frotte à lui. Il s'assoit sur le lit, elle s'assied collée contre lui et ils s'embrassent. Elle écarte ses cuisses pour bien me montrer qu'elle mouille. Elle met sa main sur sa braguette, en sort le sexe aux proportions très avantageuses en effet déjà complètement gonflé. Elle se plie et lui lèche les couilles, remonte sur son gland.
Pendant qu'il se déshabille, elle vient vers moi, m'entoure les yeux avec le bandeau puis
descend celui-ci jusque dans mon dos et me lie les mains avec. Ensuite je n'ai plus entendu que des bruits. Des paroles assez hard, des claquements de fesses, des claquements dues aux
pénétrations, aux vas et viens, des gémissements, quelques râles. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais plus d'une heure dans sa totalité à en croire la sonnerie horaire de ma montre.
Je les ai entendus parler quelque peu, ma femme beaucoup sourire. J'ai entendu qu'ils se
rhabillaient, elle est venue vers moi, a défait les liens, je ne le voyais plus dans la pièce. Elle m'a dit qu'elle allait prendre un verre avec lui, que pendant ce temps il me fallait refaire le lit
correctement et rétablir le désordre qu'ils auraient pu causer. Si j'étais obéissant, j'aurai le droit de jouir comme l'autre fois avant qu'elle ne parte en vacances.
Je me suis appliqué. En effet, il y a quelques semaines au mois de juillet, elle m'annonçait
un soir sans m'avoir prévenu auparavant qu'elle partait se reposer en vacances avec quelques-uns unes de ses amies dans le sud de la france. Comme je n'étais pas au courant je n'ai pas pu poser de jours de congés, et c'est donc sans moi qu'elle est partie. En abstinence depuis plus de 15 jours, j'avais essayé toute la semaine d'obtenir l'autorisation de pouvoir la pénétrer, sachant qu'ensuite, puisqu'elle partait, je ne pourrais certainement pas jouir durant toute la semaine suivante.
J'obéissais à certains de ses désirs, et elle a pu s'amuser, user et a b u s e r un peu de mon corps.
Déclarant que je devais lui montrer à quel point j'étais en manque, à quel point j'étais assez
salope, assez excité, à quel point je ne pouvais plus tenir, elle voulait vérifier mon état et ma
soumission en me fessant, en me doigtant et en jouant - travaillant avec mes tétons.
A partir du moment ou j'acceptais plus que d'habitude, où j'en voulais plus, cela signifiait
alors pour elle que mon état était acceptable et que peut-être elle pourrait consentir à l'idée de
réfléchir à m'autoriser à me faire jouir. . le soir avant son départ, alors que nous parlions de tout autre chose, juste avant de nous coucher, elle s'est levée du canapé, m'a ordonné de me
déshabiller et de me mettre à genoux, elle a saisi sa montre, puis elle m'a donné 1 minute 30
secondes pour jouir (la dernière fois, lorsqu'elle m'avait 2 minutes pour le faire, persuadée qu'elle était que je n'y parviendrais pas, elle avait été légèrement froissée et frustrée par le fait que justement j'avais pu réussir cela même un peu pris au dépourvu).
J'avais une envie démentielle de jouir, mais cette fois-ci, surpris par cet ordre, sans
préparation du tout, je n'ai pas réussi à trouver le bon rythme, j'ai eu beau réitérer mes différentes techniques des fois précédentes pour y parvenir (caresses de couilles, humidification du gland, sensibilisation du gland à l'extrême), j'étais juste parvenu sur le point de sentir monter véritablement les quelques secondes capitales avant l'explosion lorsqu'elle s'est assise devant moi m'enlevant la main de mon sexe pour stopper tout acte de masturbation. Le corps très excité et mouvementé, la frustration et le goût sexuel leur comble, j'étais devant elle, à genoux, fesses reposées sur les talons espérant une prolongation de quelques secondes. Pour mettre tous les éléments favorables de mon côté, je me suis osé à lui embrasser les pieds et à tendre mes fesses, à me cambrer comme elle aime, comme une bonne petite soubrette, une bonne petite chienne, pour montrer mon excitation.
Elle s'est assise alors plus sur le bord du canapé, je me suis remis à genoux fesses sur les
talons, elle m'a empoigné la queue, a fait quelques mouvements de va et vient, avant de me
présenter la paume de sa main devant ma langue en me déclarant :
- Ce n'est quand même pas moi qui vais le faire, allez lèche.
Puis de porter cette paume juste sur mon gland pour monter et descendre sa main en ne
frottant que le dessous du gland. Excité et ne croyant pas ce qui m'arrivait après mon échec de
tout à l'heure, je bandais à en avoir mal, je sentais mes couilles pleines, j'espérais qu'elle ne
s'arrêterait pas. Lorsqu'elle s'est approchée de mon oreille pour me dire quelque chose, j'ai cru
qu'elle allait m'annoncer que je ne jouirais pas ou qu'il ne me restait que quelques secondes.
En fait elle m'a dit tout bas :
- Imagine à quel point tu vas être cocu pendant ces quelques jours de vacances.
J'ai immédiatement giclé, me vidant totalement sur les cuisses et les couilles à gros jets de
sperme. Depuis j'ais reçu l'interdiction de jouir avec ordre formel de ne pas me toucher, tant
qu'elle ne reviendrait pas.
Ma femme m'éduque et m'apprend à jouir de ses aventures. 3
Quelques changements dans notre vie de couple sont intervenus depuis la dernière fois où
j'ai écrit sur le site. Désormais, mon épouse part après son travail tous les vendredi soir avec un amant régulier, et elle sort systématiquement tous les samedi sans jamais rentrer avant le
dimanche dans l'après midi. Il arrive qu'elle combine ses deux sorties, puisqu'elle m'a laissé
entendre que les quelques fois où elle n'était pas rentrée du week-end c'est qu'elle était restée en fait avec son amant régulier pour partir plus loin ou organiser des choses plus convenablement que pour une seule soirée. Ainsi, il arrive que du vendredi matin où elle s'en va pour travailler au lundi soir où elle revient à la maison (puisqu'elle va directement à son travail le lundi sans passer chez nous lors de ces longs week-ends), je ne la vois pas du tout.
La semaine s'orchestre donc en fonction de cette vie. Un emploi du temps se dégage petit à petit. Le lundi soir je dois désormais la détendre (massage, toilette intime, etc.), le mardi est consacré à la venue de son amie qu'elle avait rencontré par le biais d'Internet, elles discutent du week-end de ma femme sans épargner un
seul détail pendant que je fais le ménage ou pendant qu'elles m'obligent à écouter sans avoir le
droit de ne rien dire ou de ne rien faire sinon les servir (à manger, à boire, allumer les cigarettes, etc.), le mercredi elle va dans diverses soirées auxquelles certaines rencontres de ces week-ends précédents l'ont invitée, elle rentre toujours la nuit, parfois je me dois de l'y accompagner et/ou de retourner la chercher mais sans jamais dépasser le pas de la porte, le jeudi m'est entièrement consacré puisque je peux décider de notre programme de la soirée sans jamais cependant évoquer aucun aspect sexuel, le vendredi elle sort avec son amant, et en fonction de leur emploi du temps soit elle rentre le lundi, soit elle sort le samedi sans que je ne la voie jamais avant le dimanche soir. Si elle a décidé de ne pas rentrer seule le dimanche alors je dois dormir dans le salon.
Beaucoup de ses aventures se déroulent chez nous désormais depuis le gage du dernier
correspondant. Un samedi soir, où nous avions prévu de sortir, Laure était en train de se préparer dans la salle de bain quand elle reçut un coup de téléphone. Dès qu'elle a raccroché elle m'appela.
- J'ai réfléchi à notre soirée et j'ai décidé de sortir seule. Tu m'attendras à la maison. (Long
moment silencieux) Tu sais j'ai envie de m'éclater ce soir, et je crois que ça serait mieux pour
moi, et pour toi surtout, que tu ne sois pas avec moi. En fait, tu sais ce beau mec que je t'ai
montré plusieurs fois et qui travaille au club, et bien il fête ce soir son anniversaire avec quelques amis et il m'a demandé si je voulais venir. J'espère que cela ne te contrarie pas ? Je veux t'entendre me dire que cela ne te dérange pas.
Elle me regardait dans les yeux.
-
Baisse les yeux et dis-le.
-
Si ça te fait plaisir ça ne me dérange pas.
-
Bien, tu vois, tu l'avoues toi-même que c'est mieux ainsi.
Puis elle fila dans la chambre et revint avec quelques vêtements dans les bras.
- J'ai une folle envie de faire l'amour, et si je m'écoutais mon chéri je te demanderais de me
prendre tout de suite ici, mais je ne voudrais pas être trop fatiguée si tôt. J'essaierai de ne pas
rentrer trop tard, mais ne m'attends pas pour t'endormir. Je crois bien en plus que je serai sur les genoux à mon retour.
Laure ne prenait aucune précaution pour cacher ce qui allait sûrement lui arriver durant cette soirée. Je ne pus m'empêcher de la questionner :
-
Tu as l'intention de te le faire type ce soir ?
-
Tu es bien indiscret ! Allez ne fais pas ton jaloux, je sais bien que ça t'excite aussi, n'est-ce pas ? Je crois en effet que ça devrait bien se passer, si j'en crois les petites allusions qu'il me fait à chaque fois que je passe au club. Ce type est vraiment très beau en plus, et a un corps parfait. Tu ne voudrais pas que je m'en prive quand même ? Il passe me chercher dans trente minutes, ça me laisse tout juste le temps de t'installer. Je sais que tu vas te branler pendant mon absence en pensant à tout ce que je vais faire cette nuit et je serai encore plus excitée si je sais que tu passes vraiment une salle soirée pendant que je m'amuse à me faire draguer. Déshabille toi, je vais te mettre la ceinture.
La sonnette de l'entrée retentit.
- Je te souhaite une bonne soirée. J'espère que tu penseras à moi très fort lorsque je danserai,
lorsque j'offrirais ma langue et qu'on me caressera les seins à travers mon chemisier. Peut-être
que j'aurai une pensée pour toi lorsque j'attaquerai une fellation comme tu les aimes, mais je
serai peut-être trop absorbée par ma tâche pour penser à toi. Par contre je t'aurais sûrement oublié quand on baisera comme des fous... J'irai me coucher tout de suite par contre. Et je veux la chambre pour moi. Tu restes dans le salon et tu ne te lèves pas quoi qu'il se passe lorsque je rentre. A demain matin alors. Je ne t'embrasse pas ça va enlever mon rouge à lèvres.
Je me mis à regarder la télévision, pas mal de choses se passaient dans ma tête. Vers une heure je me couchais sur le canapé. Quelques heures plus tard, j'entendis la porte de notre appartement s'ouvrir. Je compris très rapidement que Laure n'était pas seule car il y eut pas mal de bruit. Elle arriva.
- Il est 5 heures, je ne te réveille pas j'espère ?
Elle se planta devant moi. Elle avait les traits fatigués mais les yeux étincelants. Son chemiser
était ouvert et elle ne portait plus son soutien-gorge. Elle avait déjà un verre à la main et semblait un peu ivre. Elle m'embrassa à pleine bouche en me serrant fortement mon sexe et mes testicules dans sa main libre.
- Si tu savais ce que j'ai pris ce soir ! Et ce n'est pas fini. Ce type est un fou de sexe et il n'a pas cessé même pendant que ses invités étaient là. On a passé une soirée géniale. Il faut que j'aille le rejoindre, je lui ai juste dis que je m'absentais 5 minutes. Je dois lui tenir une promesse, tu sais laquelle ?
Je répondis non de la tête.
- Et bien je lui ai promis qu'il pourrait me baiser dans mon lit conjugal, et cela a semblé lui plaire beaucoup. Tu ne peux pas imaginer comme je suis trempée. Tu vois comme je mouille ? Si tu voyais sa queue mon chéri tu serais vert de honte. Il m'a dit que j'étais une vraie chienne. Tu t'en doutes qu'il a déjà eu le temps de me prendre par derrière. C'est vrai qu'on ne le fait jamais, mais avec lui je n'ai pas pu me retenir, et je pense d'ailleurs qu'on va remettre ça. Je ne veux pas t'entendre ! Il faut que j'y retourne. Je lui ai dit que mon mari rentrait vers midi.
Elle retourna le rejoindre. Quelques rires parvinrent en premier à mes oreilles, puis un silence
relatif, duquel émergea petit à petit des gémissements. Je crus percevoir à un moment donné des claquements étouffés, comme ceux produits par une fessée. Puis encore des gémissements, plus forts ceux-là. Elle criait presque, et je pouvais entendre à sa manière d'haleter que la fréquence imposée par l'homme était très rapide. Le calme vint enfin. Je pouvais distinguer des paroles prononcées à voix basse, des petits rires encore. En moi se mélangeaient l'excitation, la douleur et la jalousie. Je pensais à ma femme qui quelques mètres à côté de moi se plaquait contre un autre homme. J'imaginais son corps brûlant, son sexe et son anus remplis par le sperme d'un autre. Ils s'endormirent.
Vers onze heures, je suis sorti, fais quelques courses, puis j'ai téléphoné pour avertir que je rentrais. Le temps qu'il s'habille. Une fois à l'appartement, je vis qu'il était encore
là. Ma femme prétexta qu'il avait un problème de dégâts des eaux chez lui que du coup il y avait un vrai chantier avec ouvrier et plombier, qu'il avait dormi sur le canapé et que si j'étais d'accord il resterait encore une ou deux journées le temps de retrouver son appartement en état. Cela coïncidait de surcroît avec deux jours de congés de mon épouse...
C’est ainsi que commença l’histoire de notre couple à 3 eux 2 et moi le soumis
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